Microbilan global 2020
Cette année, l'été météorologique a été particulièrement marqué par la sécheresse en Bresse bourguignonne.
Chaleur, pluviométrie au plus bas, juin, juillet et août ont affiché des mesures assez exceptionnelles.
Concernant la température moyenne annuelle, elle s'est située à 13,1°C pour une normale de 11,3°C soit +1,8°C.
Sous nos latitudes, le réchauffement climatique se faire maintenant ressentir très nettement.
En matière de précipitations, la normale annuelle est de 997,4 mm. L'ensemble des précipitations de 2020 a totalisé 744,2 mm, soit un déficit de 253.2 mm.
Ces chiffres sont à appréhender avec du recul, étant entendu que des différences sectorielles sont à prendre en compte. En effet la quantité d'eau peut varier d'un secteur géographique à un autre.
Depuis 2017, ces trois dernières années se sont situées bien en dessous de la norme.
Cette année, l'été météorologique a été particulièrement marqué par la sécheresse en Bresse bourguignonne.
Chaleur, pluviométrie au plus bas, juin, juillet et août ont affiché des mesures assez exceptionnelles.
- Le mois de juin assez proche de la normale des températures, a par ailleurs été déficitaire en matière de pluviométrie.
- Le mois de juillet chaud avec une moyenne de 22,2°C et un lourd déficit en pluviométrie, a nettement contribué à l'assèchement des nappes phréatiques régionales.
- Le mois d'août a été marqué en deuxième semaine, par une vague de chaleur où les températures se sont situées 35 et 37°C. Là aussi, la pluviométrie a été déficitaire avec un déficit important.
Concernant la température moyenne annuelle, elle s'est située à 13,1°C pour une normale de 11,3°C soit +1,8°C.
Sous nos latitudes, le réchauffement climatique se faire maintenant ressentir très nettement.
En matière de précipitations, la normale annuelle est de 997,4 mm. L'ensemble des précipitations de 2020 a totalisé 744,2 mm, soit un déficit de 253.2 mm.
Ces chiffres sont à appréhender avec du recul, étant entendu que des différences sectorielles sont à prendre en compte. En effet la quantité d'eau peut varier d'un secteur géographique à un autre.
Depuis 2017, ces trois dernières années se sont situées bien en dessous de la norme.
